• Qui Sommes-Nous?
  • Partenariats
  • Équipe
  • Contact
lundi, août 25, 2025
  • Login
Infos Plus
Advertisement
  • Accueil
  • À la une !
  • Actualités par Pays
    • Afrique du Nord
    • Afrique de l’Ouest
    • Afrique Centrale
    • Afrique de l’Est
    • Afrique Australe
  • Thématiques
    • Politique
    • Economie
    • Société
    • Culture
    • Environnement
    • Sports
    • Santé
    • Technologies
    • Autres
  • Vidéos
  • Dossiers spéciaux
  • Divers
  • Institutionnel
    • Qui Sommes-Nous?
    • Équipe
    • Partenariats
    • Mentions légales
    • Contact
No Result
View All Result
  • Accueil
  • À la une !
  • Actualités par Pays
    • Afrique du Nord
    • Afrique de l’Ouest
    • Afrique Centrale
    • Afrique de l’Est
    • Afrique Australe
  • Thématiques
    • Politique
    • Economie
    • Société
    • Culture
    • Environnement
    • Sports
    • Santé
    • Technologies
    • Autres
  • Vidéos
  • Dossiers spéciaux
  • Divers
  • Institutionnel
    • Qui Sommes-Nous?
    • Équipe
    • Partenariats
    • Mentions légales
    • Contact
No Result
View All Result
Infos Plus
No Result
View All Result
Home Actualités International

Gabon : Alexis Ndouna, promoteur de la Coopérative agricole du canton Kayié

Antoine Lawson by Antoine Lawson
août 4, 2025
in International
0
Gabon : Alexis Ndouna, promoteur de la  Coopérative agricole du canton Kayié
0
SHARES
0
VIEWS
Share on FacebookShare on Twitter

Gabon-Economie-Agriculture-Interview Alexis  Ndouna

LIBREVILLE, 17 octobre (Infosplusgabon) – Le Président-Directeur Général de Nao Group Holding Company, Alexis Ndouna, et son équipe se sont donnés comme vocation le  développement agricole. Discret, alerte et  désireux de concilier agriculture et  industrialisation, M. Ndouna  voudrait  apporter sa contribution sur le plan de  la sécurité alimentaire au Gabon  en entretenant  une image d’intégration harmonieuse dans un  canton  riche de  sa  diversité agricole. L’exemple du canton Kayié, au cœur de  Kabaga-Bayi, est éclairant. Nous ne pouvions, pour présenter la Coopak, que rencontrer le coordinateur de cet ambitieux projet.

 

« Pour jouer  à  fond la  carte  économique au sein de  la  Coopérative  agricole de  Kayié (Coopak),  Alexis  Ndouna l va  drainer son épargne vers des  investissements  productifs comme par exemple  l’acquisition du matériel agricole,  la  réalisation de petits projets  individuels ou collectifs au  niveau des  villages  du sud-est du Gabon« . 

Question : La  Coopak a  fait sienne la dimension sociale et l’argument pour soutenir l’économie sociale  via une activité solidaire ?

Alexis  Ndouna : En effet,  nous avons la ferme  volonté de mobiliser les agriculteurs du canton  Kayié et de  proposer des produits qui soient à la  fois  locaux, biologiques, durables et de qualité afin de répondre à  une demande croissante des  consommateurs. La dimension sociale se  joue  également  sur le plan du maintien ou du développement de l’emploi. C’est l’une des  conditions de  réussite du projet. L’autosuffisance alimentaire représente un défi pour le Gabon et devrait constituer, si elle aboutissait, un pas important pour circonscrire la politique agricole d’un pays toujours dépendant du pétrole.

Présentez-nous votre  Coopérative

La Coopérative agricole  de Kayié   est une  initiative que  nous avons initiée pour sédentariser les  populations dans  un premier  temps et ensuite pour leur donner  la possibilité d’avoir un revenu. L’activité agricole existait déjà mais de  façon artisanale.  Le  Groupe Nao a  apporté l’encadrement, le  conseil et de  petits moyens financiers pour permettre à la Coopak d’atteindre certains de ses  objectifs.

Que cultivez-vous ?

Nous cultivons du café, du cacao qui furent les  premières activités de la  coopérative. Il  y a un an,  la coopérative avait  pris la  décision de  cultiver du manioc pour répondre à un  besoin du marché. Il  nous a  fallu nous adapter pour réussir le pari  qui mènerait  vers  l’autosuffisance alimentaire sur le  plan  national pour  ne pas  laisser le pays dépendre des  importations  massives et incontrôlées des pays voisins   qui  couvrent  pour environ 80% des besoins alimentaires de  nos compatriotes.

 

 

Comment allez-vous accompagner vos ambitions ?

Le  marché alimentaire  au Gabon est  très  dynamique…et de plus en plus exigeant. Notre ambition  s’inscrit dans  une volonté de  développer une industrie locale et de qualité. Le besoin est là. Pour la  campagne agricole de l’année 2012,  nous avions pu cultiver 1000 hectares de manioc et  pour la campagne 2013  qui  vient de  débuter, nous  voudrions atteindre 5000  hectares de manioc planté.  . Et  en  dehors du manioc,  nous nous sommes  lancés dans  la culture de l’igname et espérons planter d’ici mars  2014 l’équivalent de 3000  hectares. En  dehors du café et du cacao, de l’igname, du manioc,  nous développons également un verger très varié composé de manguiers, d’orangers, d’atangatiers, etc. Une variété  d’arbres fruitiers qui  produit  tardivement par  rapport  au  cycle  de  maturité du manioc.

La  Coopak en  chiffres ?

En termes de  chiffres et de perspective, la  Coopak a  bien  fonctionné en 2012 pendant 6 mois avec l’équivalent de 200 personnes. Au regard des objectifs affichés pour la campagne actuelle,  nous allons  créer entre 500 et 600 nouveaux  emplois car nous allons entrer  dans  la phase  d’industrialisation. En effet,  nous avons commandé  du Japon une usine de  transformation qui  nous permettra de  disposer de produits dérivés du manioc, essentiellement de la  farine de  manioc, entre autres  dérivés. Trois  composantes rythment  nos activités ;  La plantation axée sur la récolte et le planting. Il  nous  faut récolter le  manioc planté l’année dernière et qui est arrivé à maturité. Mais  également prévoir une seconde équipe de travailleurs chargée de  planter sur de  nouveaux espaces labourés. La deuxième  composante est l’usine où est traité le manioc pour le  débarrasser  du cyanure. Un  traitement  préalable de la pâte de  manioc  est nécessaire après  passage  au four. La  troisième  composante est la production. L’usine  produira l’équivalent de  500 sacs de  25 kilos de farine de manioc.

Les  objectifs  pour 2014 ?

Nous  devons  répondre aux besoins du marché local avec  une maîtrise sur les prix. En d’autres  termes,  nous voudrions accéder à la  chaîne de production pour  ramener le prix du  sac de  manioc à un  niveau  raisonnable et  compétitif.   Le prix du sac de 25 kilos de manioc est actuellement  de 20 000 francs  CFA à Libreville et à Franceville ( il peut atteindre  24  000 F  CFA en  période de  pénurie) et notre objectif est de  le  ramener à 15 000  F  CFA.  Nous avons déjà  eu des contacts  avec  des centrales  d’achat  de la  République  démocratique du Congo (RDC), du Congo Brazzaville et de l’Angola qui souhaiteraient se  procurer du manioc de la Coopak. Le  moment  venu,  l’exportation suivra.

La  Coopak a  besoin de l’appui des partenaires et des  bailleurs de  fonds  pour  parfaire son industrialisation et  donc son expansion

Nous avons  besoins d’expertise et de  moyens  financiers  conséquents pour pérenniser  nos activités et opter pour une mécanisation globale. Il  nous  faudrait par conséquent  beaucoup d’investissements au regard de l’étendue des surfaces  exploitées. Comme toute entreprise de  notre  dimension,  nous sommes  confrontés à des  difficultés qui limitent  notre expansion.  Pour mener à  bien les  initiatives de  la Coopak,  nous souhaiterions  créer les  meilleures  conditions pour que les bailleurs de  fonds prennent en compte les  spécificités  propres à  notre coopérative. Lorsque nous analysons les  chiffres de la  balance commerciale  dans la sous-région, le  Gabon est déficitaire, c’est-à-dire dépendant de l’extérieur pour ses  besoins alimentaires. Aujourd’hui,  notre  combat est de contribuer à réduire cette dépendance  vis-à-vis des pays voisins.

Quelle quantité d’engrais  utilisez-vous sur l’étendue de  vos  exploitations ?

Nous n’utilisons pas  d’engrais. Nous fabriquons du compost à partir de  feuilles mortes pour enrichir nos  sols,  notamment pour la culture du café et du cacao. Pour les plants  de  manioc,  après le passage du  tracteur, les  boutures sont  mises directement en terre. C’est  une  technique à la fois  traditionnelle et biologique.

 

 FIN/INFOSPLUSGABON/MIL/GABON 2013

 © Copyright Infosplusgabon

Previous Post

Gabon : BGFI envisage de lever 122 millions d’euros à la BVMAC

Next Post

Gabon : La Coopérative agricole de Kayié, un maillon vers l’autosuffisance alimentaire

Next Post
Gabon : La  Coopak  à la  foire agricole internationale de Libreville

Gabon : La Coopak à la foire agricole internationale de Libreville

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • Trending
  • Comments
  • Latest

The Legend of Zelda: Breath of the Wild gameplay on the Nintendo Switch

août 4, 2025

These Are the 5 Big Tech Stories to Watch in 2017

août 4, 2025

Liberia: Int’l observers speak on Liberian presidential, legislative polls

août 4, 2025

Força Aérea lança nova ofensiva contra Boko Haram na Nigéria

août 4, 2025

Nouveau site web de Infos Plus Gabon

0

Nouveau site en construction!

0

Votre Agence de presse en ligne Infosplusgabon désormais trilingue

0

Afrique : Le Niger va se doter d’un budget de 1331 milliards de FCFA en 2013

0

Liberia: Int’l observers speak on Liberian presidential, legislative polls

août 4, 2025

Cameroun : Trois journalistes poursuivis pour « non dénonciation d’actes terroristes » déclarés non coupables

août 4, 2025

AUC Chairperson visits South Africa

août 4, 2025

Sierra Leone Beach Volleyball team secures Commonwealth games spot

août 4, 2025

Recent News

Liberia: Int’l observers speak on Liberian presidential, legislative polls

août 4, 2025

Cameroun : Trois journalistes poursuivis pour « non dénonciation d’actes terroristes » déclarés non coupables

août 4, 2025

AUC Chairperson visits South Africa

août 4, 2025

Sierra Leone Beach Volleyball team secures Commonwealth games spot

août 4, 2025
Infos Plus

Infos Plus est une agence de presse gabonaise indépendante fondée en 1992. Elle diffuse des actualités, reportages et analyses sur le Gabon, l’Afrique et le monde.

Follow Us

Browse by Category

  • A la une
  • Assitance Aéroport
  • Culture
  • Developpement
  • Divers
  • Economie
  • Fashion
  • Finance
  • Infos plus gabon
  • International

Recent News

Liberia: Int’l observers speak on Liberian presidential, legislative polls

août 4, 2025

Cameroun : Trois journalistes poursuivis pour « non dénonciation d’actes terroristes » déclarés non coupables

août 4, 2025
  • About
  • Advertise
  • Privacy & Policy
  • Contact

Copyright © 2011 - Infos Plus. Tous droits réservés. Par Ranber Agency

No Result
View All Result
  • Accueil
  • À la une !
  • Actualités par Pays
    • Afrique du Nord
    • Afrique de l’Ouest
    • Afrique Centrale
    • Afrique de l’Est
    • Afrique Australe
  • Thématiques
    • Politique
    • Economie
    • Société
    • Culture
    • Environnement
    • Sports
    • Santé
    • Technologies
    • Autres
  • Vidéos
  • Dossiers spéciaux
  • Divers
  • Institutionnel
    • Qui Sommes-Nous?
    • Équipe
    • Partenariats
    • Mentions légales
    • Contact

Copyright © 2011 - Infos Plus. Tous droits réservés. Par Ranber Agency

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In